Hong Kong
BIBLIOGRAPHIE
Chine - Emotions vagabondes - Beau Livre
«Pendant de longues années ce pays a occupé tout, ou partie, de ma vie, de mes songes et de mes nuits. C’eût été lui faire offense et me faire violence que de prétendre en réduire les immensités à la taille de ces modestes feuillets.
J’ai donc choisi d’en tracer le portrait inachevé avec mes objectifs et mes crayons, à coups de coeur, de colère et de passion, par ces quelques touches de couleur et ces mots, parfois enflammés, pour les accompagner !»
Des personnages, des instants, des paysages... claquements secs de l’obturateur... millièmes de secondes pour une éternité ! Des mots, des verbes et des pensées... grincements de plume sur le papier... courtes phrases pour d’éternels regrets !
Le dragon s’est éveillé, la Chine s’est envolée, mes rêves ne seront plus jamais ce qu’ils étaient ! Restent les humeurs et les émotions à partager...
J’ai donc choisi d’en tracer le portrait inachevé avec mes objectifs et mes crayons, à coups de coeur, de colère et de passion, par ces quelques touches de couleur et ces mots, parfois enflammés, pour les accompagner !»
Des personnages, des instants, des paysages... claquements secs de l’obturateur... millièmes de secondes pour une éternité ! Des mots, des verbes et des pensées... grincements de plume sur le papier... courtes phrases pour d’éternels regrets !
Le dragon s’est éveillé, la Chine s’est envolée, mes rêves ne seront plus jamais ce qu’ils étaient ! Restent les humeurs et les émotions à partager...
Prix: 30 € TTC
CHINE "Beau Livre"
L’univers chinois impose à toute approche sérieuse beaucoup de modestie, de réflexion et de patience. La Chine ne s’appréhende pas en quelques semaines, en quelques mois, voire même en quelques années !Il faut du temps, beaucoup de temps... et avant tout une certaine sensibilité, un sixième sens, comme un esprit de connivence...
Il faut aussi savoir attendre... il y a de la magie, à n’en pas douter, dans ce pays qui se dévoile doucement, comme pour mieux vous ensorceler... il faut s’arrêter... l’écouter... le regarder avec sérénité... aller au delà des évidences et des outrances... ignorer le futur, oublier le présent et laisser, pour quelque temps, survivre l’idée du passé...
La Chine ne devrait s’offrir qu’à ceux qui savent encore rêver...!
L’auteur, dans cet ouvrage, nous propose un regard original et personnel, un parcours initiatique jalonné de coups de coeur et de passion, une errance photographique qui se nourrit d’instants privilégiés.
Des personnages, des lieux, des situations, des paysages... claquements secs de l’obturateur... millièmes de secondes pour une éternité !
Ces photos ont une histoire. Leur existence, leur sélection et leur succession au fil des pages ne relèvent pas du hasard !
Elles s’articulent, se développent et s’envolent autour d’une même idée, une évidence pour la création... une simple, une toute simple émotion... !
Des textes courts et discrets les accompagnent, parfois décalés ou enflammés... des précisions, des impressions de voyage, des poèmes, des colères, des contes et des légendes qui les aident, peut-être, à s’exprimer...
Ainsi, de mégalopoles futuristes en villages moyenâgeux, des paysannes du Yunan aux moines Taoïstes du Wudangshan, de la somptueuse rivière Li à la Grande Muraille, des glaces de Harbin au désert de la Porte de Jade, c’est l’âme chinoise qui, lentement, se révèle...
CHINE "Beau Livre"
Format 31 cm x 25 cm - Relié - 180 pages dont 2 portfolios de 16 pages - 187 photos - Couverture cartonnée, pelliculée brillante avec jaquette de protection. Editions Pages du Monde / Anako - Deuxième édition : 4ème trimestre 2006 - ISBN : 2 907754 92 0CHINE "Beau Livre"
Extrait 1 –Il y a beaucoup de passion et, je l’avoue, quelque arrière-pensée, quelque compte à régler et sans doute même quelque provocation dans ma détermination à vouloir ouvrir ce livre sur cette insignifiante péninsule des lointains rivages de la Mer de Chine, cette minuscule enclave dont l’existence fut fastueuse et dérisoire, ce glorieux et douloureux symbole d’un occident désormais en retrait, presque honteux de son passé !
L’occasion était trop belle, il est vrai, de redonner, enfin, à Macao, un premier rôle, pour la dernière fois sans doute, car l’identité du territoire me semble bien compromise et, peut être ainsi, signifier mon éternelle reconnaissance pour toutes les émotions dont cette terre singulière m’a fait l’offrande à chacune de mes errances.
Et puis surtout, il restait un affront à laver... rien de personnel, certes, mais j’avais, néanmoins, failli m’en étouffer !
Ce jour là…
Extrait 2 –
Il y a quelques années, quand l’invraisemblable piste de Kai Tak, posée entre le ciel et les eaux de la baie, défiait l’adresse des pilotes les plus chevronnés, aucun des passagers, pris de frissons, de sueurs et de stupéfaction, au spectacle de cette arrivée, entre montagnes et balcons, n’aurait eu le temps ou l’idée d’une pensée, même fugitive, pour le capitaine Charles Elliott.
Aujourd’hui, Kai Tak et bien d’autres petites choses ont disparu. L’Union Jack et les Britanniques se sont envolés. Les temps ont changé. Un nouvel aéroport international, insipide et monumental, accueille des jets dont l’atterrissage automatisé est entièrement téléguidé. Les pilotes n’ont plus besoin de leur “manche à balai” ni les passagers de leur hublot désormais sans intérêt. Rien à voir à Chek Lap Kok, et tout le monde se moque du capitaine Elliott.
Au tout début du XIX ème siècle…
Extrait 3 -
”Tu dois beaucoup aimer cet endroit ! je me souviens de toi. Je t’ai déjà vu ici l’année dernière et puis aussi, je crois, l’année d’avant, et une autre fois, encore, il y a plus longtemps! tu espères, sans doute, apercevoir la fille de Shennong ? Tu as raison, il faut être persévérant !”
Le vieil homme s’était approché sans bruit. Il m’avait presque surpris alors que je commençais à prendre racines derrière mon trépied aux branches largement déployées. “Diaph” retouché, point calé, objectifs précisément pointés, l’oeil aux aguets... j’attendais. C’était bien lui. Je l’avais aperçu au loin, en arrivant, au bout d’un sentier qui s’insinuait entre les rizières mais je ne pensais pas le voir si vite à mes côtés. C’était un paysan, un laboureur dont un commissaire-priseur, légèrement dédaigneux, aurait pu dire, avant de lancer les enchères, qu’il avait une “belle patine d’usage”. Il avait surtout de la sagesse et de la bonté gravées jusqu’au plus profond des rides de son visage. Du premier coup d’oeil, facile à distinguer ! C’était un homme simple et vrai, à la silhouette raidie par le poids des ans et les rudesses de la vie ! Je soupçonnais, sans raison véritable, qu’il avait quelque chose à dire, de bien précis, et qu’il m’avait choisi ! Une idée sans doute suggérée par le plaisir, la fierté aussi, de me trouver face à un de ces êtres de plus en plus rares qui, d’un signe, de deux mots ou d’un regard vous donnent encore quelque espoir en l’humanité... que les horribles mutants de Shenzhen, de Shanghai ou d’ailleurs, avides de pouvoir, d’argent ou de célébrité se chargeront bien vite d’atomiser !
J’expliquai à mon nouvel ami les raisons de ma présence en ce lieu, à cette heure matinale - les photos, la caméra, le livre, les images, l’indécente beauté de ce paysage, l’irrésistible attirance pour ce dégradé de rizières, pour cette mosaïque de couleurs, d’ombres et de lumières, la troublante intuition d’une intervention du surnaturel dans l’organisation quasi mystique de ce décor irréel - mais rien dans tout cela qui ne soit en rapport avec la “fille de Shennong” dont, à mon grand regret, j’ignorais, jusqu’à ce jour, l’existence...!
”Et justement, dis-je, au vieil homme, quelle est donc cette jeune fille qui mériterait qu’on se lève d’aussi bonne heure dans le seul et chimérique espoir de l’apercevoir ? »
Il ne fut pas vraiment surpris de ma question. Il l’avait sollicitée et se réjouissait de pouvoir maintenant y répondre. Il se replia en silence, s’assit sur ses talons, m’invita à en faire de même et commença enfin :
« Dans la région, depuis toujours… »
Chine - la brochure
En savoir plus… pour mieux comprendre cet étonnant pays !
Dans cette brochure de 64 pages, l’auteur nous propose un panorama général constitué d’approches sérieuses et très documentées. Tout au long de développements qui, en tous domaines, vont à l’essentiel, il nous fait profiter de sa connaissance du pays et de son expérience acquises au cours d’innombrables séjours.
Dans cette brochure de 64 pages, l’auteur nous propose un panorama général constitué d’approches sérieuses et très documentées. Tout au long de développements qui, en tous domaines, vont à l’essentiel, il nous fait profiter de sa connaissance du pays et de son expérience acquises au cours d’innombrables séjours.
CHINE "Brochure"
Depuis la fabuleuse aventure vécue, au XIIIème siècle, par Marco Polo, au cœur même de l’Empire du Milieu, aux côtés du « Fils du Ciel », l’empereur de Chine, le grand Kubilaï Khan, Cathay la mystérieuse n’a cessé de fasciner le monde occidental.Par l’immensité de son territoire, la richesse de sa civilisation ou la complexité de sa société, ce pays a fortement tendance à donner le vertige !
Si la république populaire de Chine est, aujourd’hui, plus facile d’accès qu’elle ne le fut jamais ; il n’en demeure pas moins que l’univers chinois est aussi différent du nôtre qu’il l’a toujours été…
Sommaire :
p3 : Préambule, « fascinant vertige »
p4 : Territoire, « profil d’un continent, fleuves, régions naturelles »
p18 : Climat, « de feu et de glace »
p20 : Faune et Flore, « souffrances naturelles »
p26 : Population, « le monolithe et les gravier »s
p32 : Religions, « trois enseignements, mille et une divinités »
p46 : Histoire, « les voies de l’éternité »
p58 : La Grande Muraille,
p60 : Recettes, « plaisir des papilles »
p63 : Coups de cœur.
CHINE "Brochure"
Format 28,5 cm x 22 cm - 64 pages - 89 photos dont 5 doubles pages - couverture souple pelliculée - dos carré cousu-collé.Editions Barthélémy : 1er trimestre 2005
CHINE "Brochure"
Extrait 1 -Avec 9.561.000 km2, soit prés de dix-huit fois la superficie de la France, la Chine est le troisième pays le plus vaste de notre planète après la Russie et le Canada. C’est un territoire aux dimensions d’un continent qui s’étire du nord au sud sur près de 5000 Km et d’est en ouest sur près de 5500 Km. Rapporté à l’Europe, cela représente un ensemble qui s’étendrait du cap Nord à la Sicile et de la Bretagne aux frontières occidentales de l’Iran.
Il n’est, dès lors, pas très étonnant de trouver dans ce pays une incroyable diversité de paysages et de reliefs. De l’Himalaya tibétain aux steppes de Mongolie, des hauts plateaux du Xinjiang à la plaine du Yang Tse, du désert du Taklamakan aux rivages de la Mer Jaune, des forêts tropicales du Yunnan aux étendues glacées de la Mandchourie, la république populaire de Chine est une terre aux aspects multiples et contrastés.
Elle développe plus de 25.000 Km de frontières terrestres avec des pays aussi différents que…
Extrait 2 -
Comme celle de toutes les vieilles, grandes et fières nations, l’histoire de la Chine, d’une incommensurable richesse, est passionnante; mais elle l’est encore bien davantage en cela même qu’elle est aussi, au-delà de l’histoire d’un pays, celle d’une civilisation en tous points exceptionnelle.
Résumer cinquante siècles d’histoire en quelques feuillets peut sembler dérisoire... c’est surtout malaisé... mais cela permettra, je l’espère, de rafraîchir quelques idées, d’assurer quelques repères ...
Extrait 3 -
“Jusqu’à une période récente, me dit un jour un ami cantonais sarcastique, la seule religion chinoise était le communisme... c’est, aujourd’hui, devenu l’argent !... mais l’Homme n’aurait-il donc que les dieux qu’il mérite !”
Au-delà de l’étonnant persiflage... les réalités.
La doctrine et le pouvoir maoïstes ont toujours été foncièrement athées. Depuis 1949, les religions, considérées comme l’instrument privilégié de l’oppression des masses populaires par les classes dirigeantes, “l’opium du peuple” selon la terminologie marxiste, ont, en toute logique, été farouchement combattues. Durant la Révolution culturelle, de sinistre mémoire, ce combat devint féroce avec destruction et saccage de temples, de monastères, et de trésors de l’art sacré, déportation ou exécution de moines et officiants, interdiction et répression de toute pratique ou manifestation à caractère religieux.
Les temps ont changé...! En ce domaine, comme en bien d’autres, les anciens “gardes révolutionnaires” ont dû avaler, sans s’étouffer, tous les feuillets pourtant indigestes de leur “petit livre rouge”. Mais les Chinois, c’est bien connu, ont l’estomac solide... et une formidable capacité d’adaptation !
La libéralisation du système a permis une évolution remarquable, même si l’État continue de surveiller étroitement toute activité religieuse et ne saurait laisser les religions traditionnelles sortir du cadre défini ou jouer le rôle qui leur était dévolu dans l’ancien régime.
Aujourd’hui, les temples rénovés accueillent librement de nombreux visiteurs, les moines ont retrouvé leurs monastères et les fidèles peuvent pratiquer ouvertement, sans crainte particulière. La situation n’est cependant pas la même pour tous, loin s’en faut...
Les catholiques chinois fidèles à Rome et les bouddhistes fidèles au dalaï lama sont condamnés à la clandestinité et à la répression.
On distingue, en Chine, trois grands courants de pensée religieuse…
Macao - la brochure
En savoir plus… après être tombé sous le charme !
Pas si simple car, à l’exception de quelques guides de voyage généralement superficiels et truffés d’erreurs, les publications, en langue française, consacrées à l’ancien Territoire portugais sont, en effet, rarissimes.
Fruit de la compilation de nombreux documents en portugais et en anglais mais aussi de l’expérience vécue, sur place, par l’auteur, cette brochure de 64 pages propose un panorama général, une information complète et détaillée sur Macao.
Pas si simple car, à l’exception de quelques guides de voyage généralement superficiels et truffés d’erreurs, les publications, en langue française, consacrées à l’ancien Territoire portugais sont, en effet, rarissimes.
Fruit de la compilation de nombreux documents en portugais et en anglais mais aussi de l’expérience vécue, sur place, par l’auteur, cette brochure de 64 pages propose un panorama général, une information complète et détaillée sur Macao.
Prix: 10 € TTC
MACAO "Brochure"
Près de cinq siècles d’une histoire fastueuse et dérisoire ont donné à Macao, ultime poussière de l’empire portugais, une atmosphère, un charme très particuliers. Sur ces lointains rivages de la mer de Chine, la rencontre des civilisations Occidentale et Extrême–Orientale a donné naissance à un Territoire mythique, envoûtant et sulfureux où flotte encore comme un parfum du temps jadis aux senteurs désuètes de douce mélancolie.Il faut, à Macao, s’évader de la réalité, se laisser emporter par la rêverie, l’imaginaire, l’idée du passé... clippers, soieries, épices... mandarins, missionnaires, aventuriers... images folles inspirées d’un vieux récit de voyage aux pages jaunies, d’un album aux photos sépias écornées...
Nostalgies...
MACAO "Brochure"
Format 28,5 cm x 22 cm - 64 pages - 66 photos dont 6 doubles pages - couverture souple pelliculée - dos carré cousu-collé.Editions Barthélémy : 3ème trimestre 2000
MACAO "Brochure"
Extrait 1 -L’arrivée du navigateur lusitanien Jorge Alvares sur les côtes de la Chine du sud, en 1513, et l’établissement des Portugais à Macao, en 1557, ne sont en fait que des étapes, des événements assez anodins qui s’inscrivent dans le cours d’une histoire fascinante commencée un siècle plus tôt.
Au tout début du XVème siècle, en effet, le Portugal, ses navires et ses capitaines partent à la découverte du monde. Un homme, un prince, l’infant dom Henrique - Henri le Navigateur - est à l’origine de cette fabuleuse aventure. Sur les hauteurs de Sagrès, ce fils austère et froid du roi João Ier a rêvé, conçu puis organisé les premières expéditions lancées le long des côtes de l’Afrique Occidentale.
Ses motivations, tant religieuses qu’économiques et humaines, étaient étroitement liées les unes aux autres, et sa détermination n’en était que plus puissante. Il fallait à la fois combattre l’Islam et assurer l’expansion de la foi chrétienne au-delà du monde connu; trouver les moyens de commercer directement avec les pays d’Orient et de réaliser ainsi des profits colossaux; et, enfin, répondre aux aspirations, besoins et envies des différentes catégories sociales de la société portugaise de l’époque.
Un prince visionnaire et passionné, un peuple de marins aventuriers motivés, des navires - les caravelles - à la pointe du progrès... il ne manquait donc plus qu’un peu de vent et beaucoup de témérité pour que l’aventure puisse enfin commencer!...
Extrait 2 -
… le 20 Décembre 1999, la Chine a retrouvé son entière souveraineté. Macao, longtemps qualifiée de “pourriture capitaliste” par les dirigeants chinois, est donc devenue, au nom du principe sacro–saint “un pays, deux systèmes” édicté par Deng Xiao Ping, une partie intégrante du territoire de la République populaire, avec le titre et le statut de Région Administrative Spéciale. Grâce à ce nouveau dogme communiste, auquel n’avait pas pensé le, toujours vénéré, président Mao, l’ancienne enclave portugaise pourra continuer –en principe pendant cinquante ans!– à vivre sa vie ultra–libérale au sein d’un des derniers états totalitaires de la planète! ... ricanements autorisés!...
Extrait 3 -
L’opéra chinois, qui est une forme théâtrale bien particulière, se décline en plusieurs versions, selon leur région d’origine, dont l’opéra de Pékin, celui de Shanghai ou de Canton. Chacune exprime des sensibilités spécifiques qui se manifestent, entre autre, par des maquillages différents.
L’opéra cantonais est, sans doute, à cet égard le plus raffiné.
Tout commence, en effet, par une séance de maquillage de plus de trois heures qui donnera naissance à véritable œuvre d’art, une créature à la beauté ultime... provisoire, mais séculaire! Le maquillage a remplacé les masques portés dans la haute Antiquité, il contribue à accentuer les mimiques, à identifier les personnages ou à préciser leur caractère. Mais, au–delà même de ces fonctions, il traduit le souci de la perfection, la recherche de l’idéal, le besoin de donner à la beauté son visage divin...!
Pour les artistes, il est vrai, le maquillage revêt l’importance du sacré, il doit être appréhendé, honoré comme tel, et ne supporte donc aucune présence importune!
Spectacle sublime, privilège ébloui de voir apparaître un trésor vivant, moment simplement magique... d’absolu et d’éternité.